L’évaluation de la responsabilité sociétale des entreprises s’invite au cœur de toutes les décisions importantes, de la définition du modèle d’affaires et de la stratégie à l’obtention de financements. Elle influence aussi la capacité de l’entreprise à attirer et retenir de nouveaux talents.
Elle oblige l’entreprise à mesurer les impacts de ses activités tout au long de sa chaine de valeur et à en rendre compte de manière responsable dans un objectif de développement durable.
Ainsi, l’identification de la nature et de la sévérité des risques liés au déploiement des activités doit se faire en regard des limites planétaires, des droits humains et des attentes des parties prenantes, selon une double approche : évaluation de l’incidence des activités de l’entreprise sur son environnement (matérialité d’impact) et de l’impact financier des facteurs exogènes sur le développement de l’entreprise (matérialité financière).
Cette transformation passe d’abord par des actions de sensibilisation permettant la prise de conscience et favorisant la discussion. Elle implique ensuite la mise en place d’une approche systémique, prospective, collaborative, structurée et transparente afin de faire émerger des solutions innovantes, dans l’intérêt de l’entreprise et respectueuses des attentes des parties prenantes.
Le chemin vers la durabilité suit un processus d’amélioration continue. Comme dans la vie quotidienne, les difficultés rencontrées aident à progresser car elles offrent l’occasion de remettre en cause des croyances ou des processus dépassés, d’acquérir de nouvelles connaissances et de s’adapter au changement. En se durcissant pour contraindre les entreprises à trouver un meilleur équilibre entre rentabilité et utilité sociale, la règlementation leur impose de renoncer à la facilité ou à l’aveuglement, mettant à leur charge de nouvelles responsabilités portant sur l’ensemble de leur chaine de valeur. La vision de Koësis, inspirée de l’art japonais du Kintsugi, invite à reconsidérer – et même à célébrer – le cassé et le réparé, c’est-à-dire à s’appuyer sur les faiblesses d’un système ou sur des erreurs commises dans le passé pour bâtir un avenir plus fort.
« Directrice Juridique au sein d’une société du CAC40 pendant plus de 25 ans, j’ai été confrontée à de nombreux défis et à plusieurs situations de crise. Ces expériences ont considérablement enrichi mon rôle de « gardienne du temple » en me plaçant souvent au coeur de cellules de crise et à la croisée des chemins entre opinions contradictoires et rapports de force. Qu’il s’agisse de réclamations portant sur un médicament soupçonné de provoquer des effets secondaires graves, d’accusations de comportements anti-concurrentiels ou de confrontations à des pratiques déloyales, j’ai constaté à quel point les situations d’urgence renforcent la cohésion au sein des équipes concernées. Comment mettre cette énergie en action pour s’attaquer aux défis collectifs que sont le dépassement de 6 des 9 limites planétaires, la violation des droits humains et les risques de corruption auxquels toute entreprise peut se trouver confrontée ? En décidant de sortir de ma zone de confort en me lançant dans l’aventure entrepreneuriale pour former et conseiller les entreprises sur leur responsabilité sociétale, je participe à la mobilisation en faveur du développement durable« .
Faites-nous part de vos attentes afin que nous puissions élaborer une proposition sur mesure.
Nos interventions sont adaptées à votre structure et à votre secteur
Que votre société soit indépendante ou filiale d’une maison mère située à l’étranger, les règlementations RSE impactent votre activité. Ces règlementations sont nombreuses et évoluent régulièrement pour s’adapter aux nouvelles exigences sociétales et environnementales. Notre proposition d’intervention est adaptée à votre secteur et à la taille de votre entreprise, que celle-ci soit directement assujettie au devoir de vigilance et/ou à la CSRD, ou située dans la chaine de valeur d’une entreprise assujettie.